Ce site Internet fournit des informations sur les activités du Bureau de la Repésentation, les points de vue de l’équipe du FMI et les relations entre Madagascar et le FMI. Des informations supplémentaires sont disponibles sur la page pays de Madagascar (en anglais).

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Aperçu général

  • Madagascar a rejoint le Fonds le 25 septembre 1963 et a adhéré aux obligations de l’Article VIII de son statut (Sections 2, 3 et 4) le 18 septembre 1996.
  • Quote-part : 244,40 millions de DTS
  • Encours de crédits : 308,60 millions de DTS (31 mars 2020)
  • Madagascar : Accord au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) : approuvé le 26 juillet 2019
  • Article IV : rapport n°20/60, publié le 02 mars 2020

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Activités du Bureau

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Travaux du FMI sur Madagascar

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Courriels frauduleux usurpant l'identité du FMI

Nous souhaitons informer le public que plusieurs variantes de lettres financières frauduleuses, prétendument délivrées par le Fonds monétaire international (FMI), ou prétendument signées de la main de représentants du FMI, sont actuellement diffusées par courriel à des fins d’escroquerie. Elles utilisent parfois l’entête officielle et le logo du FMI. Ces lettres frauduleuses demandent aux victimes potentielles de contacter le FMI afin d’obtenir « certificat de virement de capitaux international » ou d’autres formes de garantie, qui leur permettraient de recevoir d’importantes sommes d’argent. Il arrive aussi que ces lettres prétendent offrir un prêt en échange de frais de négociation. Le courriel de la personne à contacter est toujours BOGUS et il est demandé aux victimes potentielles d’envoyer leurs informations bancaires personnelles, qui seront ensuite utilisées par les fraudeurs pour mener à bien leurs escroqueries.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez lire cet article (en anglais)

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Perspectives économiques régionales

le 25 octobre 2024

Perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne, Octobre 2024

Reforms amid Great Expectations

Les pays d’Afrique subsaharienne mettent en œuvre des réformes difficiles et indispensables pour rétablir la stabilité macroéconomique et, bien que les déséquilibres globaux aient commencé à se résorber, la situation est hétérogène. Les dirigeants sont confrontés à trois principaux obstacles. Premièrement, la croissance régionale, attendue à 3,6 % en 2024, est globalement atone et inégale, même si une modeste reprise est prévue l’année prochaine à 4,2 %. Deuxièmement, les conditions de financement demeurent restrictives. Troisièmement, l’interaction complexe entre la pauvreté, le manque de débouchés et la mauvaise gouvernance, conjugués à des augmentations du coût de la vie et à des difficultés à court terme liées aux ajustements macroéconomiques, nourrissent les frustrations sociales. Dans ce contexte, les décideurs doivent se livrer à un véritable exercice d’équilibriste consistant à concilier quête d’une stabilité macroéconomique, réponse aux besoins de développement et assurance de l’acceptabilité sociale et politique des réformes. Il sera essentiel de protéger les plus vulnérables des coûts de l’ajustement et de mettre en œuvre des réformes qui créent suffisamment d’emplois pour mobiliser le soutien public.
Lire le rapport