Bienvenue sur le site du bureau représentant résident du FMI en RDC. Cette page Internet fournit des informations sur les activités du FMI en RDC et sur les relations entre la RDC et le FMI. Si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet, consultez la page suivante : La République démocratique du Congo et le FMI 

(en anglais). Vous y trouverez les rapports officiels du FMI et les documents du conseil d’administration du FMI sur la République démocratique du Congo.

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Aperçu général

  • Membres actuels : 189 pays
  • La République démocratique du Congo a rejoint le Fonds le 28 septembre 1963.
  • Quota total : 1066,0 millions de DTS
  • Consultation au titre de l’Article IV : le 4 septembre 2019

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Activités du Bureau du représentant résident

  • Les services du FMI achèvent une visite d’assistance technique en République Démocratique du Congo (English)

    Les communiqués de presse de fin de mission contiennent des déclarations des équipes des services du FMI qui rendent compte de leurs conclusions préliminaires après leur visite dans un pays. Les avis exprimés dans la présente déclaration sont ceux des services du FMI et ne correspondent pas nécessairement à ceux du conseil d’administration du FMI. La mission en question ne fera pas l’objet de délibérations au sein du conseil d’administration.

    le 26 octobre 2023

  • Déclaration du chef de mission du FMI en République démocratique du Congo

    La cheffe de mission du Fonds monétaire international pour la République démocratique du Congo, Mercedes Vera Martin, souhaite faire la déclaration suivante : "Lors d'une réunion tenue le jeudi 27 avril 2023 avec le vice-premier ministre de la Défense Monsieur Bemba, les discussions ont porté sur la nécessité de contrôler et de hiérarchiser les dépenses, y compris les dépenses liées à la sécurité, compte tenu de l'espace budgétaire restreint, et sur l'importance de renforcer la gouvernance pour soutenir l'efficacité des dépenses."

    le 28 avril 2023

  • Visite de la directrice générale Kristalina Georgieva en République Démocratique du Congo (7-9 décembre 2021)

    Cette visite, en réponse à l’invitation du Président de la République Félix Tshisekedi, était la première en Afrique depuis le déclenchement de la pandémie de Covid-19. Lors de sa visite, la directrice générale et sa délégation (le directeur du département Afrique Abebe Aemro Selassie, la chef de mission pour la RDC Mercedes Vera-Martin, le chef de division du département de la communication Alistair Thomson, la conseillère Aleksandra Zdzienicka) ont rencontré le président Felix Tshisekedi, le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, la gouverneur Malangu Kabedi-Nbuyi, le ministre d'État, ministre du Budget Aimé Boji Sangara, le ministre des Finances Nicolas Kazadi et des représentants de la société civile, du secteur privé et des partenaires au développement. Au cours de cette importante visite, Kristalina Georgieva a souligné le potentiel économique de la RDC, félicité les autorités pour le démarrage satisfaisant de l'accord de Facilité Elargie de Crédit, appelé à une mise en œuvre décidée des réformes structurelles pour relancer la croissance, mobiliser les recettes, renforcer l'indépendance de la banque centrale et promouvoir une meilleure gouvernance et transparence. Elle a également souligné les enjeux du processus de transition énergétique pour la RDC. La directrice générale a également fait un don au nom du FMI au Fonds pour les femmes congolaises, représenté par Julienne Lusenge, pour soutenir des actions initiées par des femmes au niveau local.

    le 7 décembre 2021

  • Entrevue télévisée après la mission de première revue du programme soutenu par la Facilité Elargie de Crédit (FEC).

    Après la mission fin octobre 2021 pour la première revue du programme soutenu par la FEC, menée par la chef de mission Mercedes VERA-MARTIN et son équipe, le Représentant Résident Gabriel LEOST a fait le point dans une entrevue à Geopolis TV : explication des enjeux du programme en cours, prise en compte des fragilités de la RDC, processus pour la présentation du dossier au Conseil d’Administration du FMI, perspectives pour la suite du programme, conditions pour une utilisation transparente pour des dépenses d’investissements prioritaires d’une partie de l’allocation de Droits de Tirages Spéciaux reçue par la RDC.

    le 11 novembre 2021

  • Présentation du programme économique soutenu par la FEC à la commission économie et finance (ECOFIN) de l’Assemblée Nationale et du Sénat.

    Lors de la mission pour la première revue du programme des autorités soutenu par la Facilité Elargie de Crédit (FEC), le représentant résident a accompagné la chef de mission, Mercedes VERA-MARTIN, pour une présentation auprès de la commission ECOFIN de l’Assemblée Nationale et du Sénat. Il s’agissait d’expliquer le fonctionnement du Fonds monétaire international et de décrire les objectifs du programme et sa conditionnalité. Alors que le projet de loi de finances pour 2022 a été déposé au parlement, il était important d’attirer l’attention des parlementaires sur la nécessité d’avoir un budget cohérent avec les priorités du gouvernement soutenues par la FEC, mais aussi que ce budget soit crédible (tant côté recettes que dépenses), et avec des assurances de financement. Enfin, la chef de mission a clarifié le choix du gouvernement quant à l’utilisation de la récente allocation générale de DTS : la moitié de l’allocation sert au renforcement des réserves internationales de la banque centrale, l’autre moitié étant destinée à des investissements prioritaires, avec une première tranche prévue d’être décaissée en 2022. A l’issue de cette présentation, la chef de mission et le représentant résident ont été reçus par le Président du Sénat, Modeste BAHATI LUKWEBO, économiste de formation, qui a insisté sur l’importance accordée par les parlementaires au renforcement de la mobilisation des recettes domestiques et à une amélioration de la gouvernance dans le domaine budgétaire.  

    le 25 octobre 2021

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Travaux du FMI sur la République démocratique du Congo

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Courriels frauduleux usurpant l'identité du FMI

Nous souhaitons informer le public que plusieurs variantes de lettres financières frauduleuses, prétendument délivrées par le Fonds monétaire international (FMI), ou prétendument signées de la main de représentants du FMI, sont actuellement diffusées par courriel à des fins d’escroquerie. Elles utilisent parfois l’entête officielle et le logo du FMI. Ces lettres frauduleuses demandent aux victimes potentielles de contacter le FMI afin d’obtenir « certificat de virement de capitaux international » ou d’autres formes de garantie, qui leur permettraient de recevoir d’importantes sommes d’argent. Il arrive aussi que ces lettres prétendent offrir un prêt en échange de frais de négociation. Le courriel de la personne à contacter est toujours BOGUS et il est demandé aux victimes potentielles d’envoyer leurs informations bancaires personnelles, qui seront ensuite utilisées par les fraudeurs pour mener à bien leurs escroqueries.

Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez lire cet article (en anglais)

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Perspectives économiques régionales : Afrique subsaharienne

le 19 avril 2024

Une reprise timide et coûteuse

Après quatre années mouvementées, les perspectives pour l’Afrique subsaharienne s’améliorent progressivement. La croissance va passer de 3,4 % en 2023 à 3,8 % en 2024, et près des deux tiers des pays s’attendent à une croissance plus élevée. La reprise économique devrait se poursuivre au-delà de cette année ; d’après les projections, la croissance devrait atteindre 4,0 % en 2025. En outre, l’inflation a presque diminué de moitié, les ratios de dette publique se sont largement stabilisés et plusieurs pays ont émis des euro-obligations cette année, mettant ainsi un terme à une période de deux ans pendant laquelle la région n’avait plus accès aux marchés internationaux. Cependant, des défis persistent et les risques sont orientés à la baisse. La pénurie de financement se poursuit pour les États de la région qui doivent encore faire face à flux extérieurs en baisse, des coûts d’emprunt élevés et à des remboursements de dette imminents. Dans ce contexte, les pays d’Afrique subsaharienne auront besoin de plus de soutien de la part de la communauté internationale afin de construire un avenir plus inclusif, durable et prospère.
Lire le rapport